Actualités: La presse 11/06/10 (suite et fin)

Publié le par rovahiga

Tananews.com/

Ces derniers temps, le régime Andry Rajoelina travaille d’arrache-pied pour poursuivre les trafiquants de bois de rose, mais ensuite qu’adviendront-ils de ces bois précieux saisis? Force est de constater que plus aucun compte rendu n’est accessible par la suite. Les trois mouvances tirent la sonnette d’alarme sur les rondins saisis puis stockés au CNME Ambohibao. Ils ont en effet, constaté la diminution à vue d’oeil des rondins stockés en ces lieux et reconnaître quelles personnalités ont accès au CNME va de soi. Quant àRazakarimanana Ndranto, de l’association « Voahary Gasy », il affirme que 24 containers de bois de rose ont été exportés cette semaine, au profit de quelques hautes personnalités du régime, une somme qui devrait pourtant être versée à la caisse de l’Etat. Bien sûr, quand on perd des financements comme celui de l’Union Européenne, il y a toujours autre moyen pour se recharger le portefeuille, autant bien user du pouvoir, seul outil que l’on possède.

La menace plane sur l’enseignement supérieur malagasy. Effectivement, les caisses de plusieurs universités de Madagascar sont à sec depuis un moment. Le paiement des allocations d’équipements aux étudiants de toutes les universités de la Grande Île a pu être effectuée, mais il s’avère que le régime Andry Rajoelina y a laissé des plumes. Aujourd’hui, l’Etat n’a plus assez de fonds pour financer les affaires courantes des universités. Le doyen de l’Université d’Antananarivo craint d’ailleurs une obligation de fermeture si aucune mesure n’est prise par l’Etat. Par ailleurs, l’on sait aussi que la HBC de Hong Kong a refusé le paiement des 50 millions USD, se référant à l’investissement WISCO. Et la HAT qui vient de claquer des millions d’euros pour convier des artistes étrangers aux festivités de l’Indépendance.

 

 

tananews.com/

 

Cette situation que connaît nos ports depuis quelques mois est loin, mais très loin d’arranger le pays quant à la crise. En effet, le département de la Sécurité Intérieure américain, en a fait la déclaration, la sécurité au niveau des ports malagasy laisse à désirer. Par conséquent, seule une minorité de navires venant de la Grande Île, après avoir rempli des critères et contrôles draconiennes pourront mouiller l’ancre dans les ports des Etats-Unis. Mais encore, tout autre navire ayant fait escale à Madagascar devra être minutieusement contrôlé. Une perte de temps que certains transitaires maritimes ne voudraient pas endosser, et certains préfèrent tout simplement rayer nos ports de leurs itinéraires, ils l’ont déclaré. Madagascar ira donc rejoindre les 13 pays de la liste noire, notamment, l’Iran, la Syrie, la Guinée Équatoriale, Guinée Bissau, la Mauritanie, la RDC, le Cuba, la RD de Sao Tome, le Cambodge, le Liberia, le Timor, le Vénézuela, le Cameroun.

courrierdemada.com/

Recyclage des ordures ménagères : Un chiffre d'affaires de 11 milliards d'Ar

Le système de recyclage est en plein essor à l'étranger. Il est pourtant peu connu à Madagascar. Le recyclage est un procédé de traitement des déchets (déchets industriels ou ordures ménagères) qui permet de réintroduire, dans le cycle de production d'un produit, des matériaux qui composaient un produit similaire arrivé en fin de vie, ou des résidus de fabrication. L'un des exemples qui illustre ce procédé est celui de la fabrication de bouteilles neuves avec le verre de bouteilles usagées. 
L'Economic Development Bord of Madagascar (EDBM) tente donc de développer cette technique à Madagascar. Le projet consiste en la transformation des ordures ménagères et agricoles d'une ville en gaz  méthanique pour satisfaire une partie des besoins énergétiques des ménages énergétiques. Pour l'heure, les villes d'Antsirabe et Antananarivo bénéficieront de ce système. L'objectif étant de valoriser les déchets de la ville à des fins énergétiques. En outre, il est question d'éviter l'émission de gaz à effet de serre émis par les ordures ménagères et agricoles et qui influe sur le changement climatique. Pour ce faire, une somme à hauteur de 1,7 milliard d'Ar est nécessaire. D'ici quatre ans, 26 100 bouteilles de gaz méthane et 24 000 tonnes d'engrais biologiques seront produites. Elles généreront donc près de 11 milliards d'Ar de chiffre d'affaires. Toutefois, cela requiert de nouvelles infrastructures adaptées à la construction d'une unité de production et de commercialisation de gaz méthanoïques.

Déforestation
A travers ce projet, l'EDBM tente de réduire le taux important de déforestation, principalement dans les régions éloignées. En effet, elle constitue l'un des premiers facteurs de l'émission de gaz à effet de serre. Malencontreusement, la culture sur brûlis prend une place importante dans la culture de certaines régions. Cette technique consiste à fertiliser la terre à travers la calcification qui détruit pourtant les plantes, premières actrices de la photosynthèse. En d'autres termes, l'air ne se régénère pas, d'où la pollution. En outre, la population malgache montre une tendance importante à l'utilisation du charbon de bois. Et pourtant, cela nécessite la coupe de certains arbres. Le recyclage des déchets permet pourtant d'obtenir de l'énergie.

 

Olana ara-bola Ahiana hikatona ny Oniversite

Misedra olana ara-bola ny oniversite rehetra eto Madagasikara amin’izao fotoana. Nampidirina tamin’ny volana febroary 2010 ny mpianatra mba hilazana fa mandeha ny raharaham-pirenena tarihin’ny FAT

Vao tsy ela akory anefa izay dia nananosarotra ny fahitana vola handoavana ny vatsim-pianaran’ny mpianatra. Saika «équipement» na fampitaovana fotsiny aloha no aloa kanjo nihetsika ny mpianatra ka voatery naloa ny vatsim-pianarana roa volana. Ankehitriny, efa tokony ho roa volana no haloa nefa toa tsy mbola misy tokotaniny izany hatreto.

Fa ny tena olana, araka ny loharanom-baovao, dia tsy mbola tonga eo anivon’ny oniversite ny vola fampandehanan-draharaha madrak’ity ny androany. Efa manontany tena ny Sojabe sasany hoe : sao efa tokony hakatona aloha ny Oniversite. Ny vola saram-pisoratana anarana mantsy no nahodina hatreto. Efa madiva ho tapitra izany vola izany ankehitriny. Any amin’ireo toeram-pampianarana sasany dia tsy mbola voaloa ny ampahany betsaka tamin’ny ora fanampiny na «heures complémentaires» tamin’ny herintaona. Ny «heures complémentaires» manaraka anefa efa tokony haloa amin’ny volana jolay izao.

Etsy an-danin’izay dia betsaka ny mpampianatra no mimenomenona fa kobaka am-bava ireo didim-panjakana telo momba ny «déplafonnement» sy ny «indemnité de recherche». Hay taratasy nentina nampangina ny mpampianatra fotsiny. Ahiana ny fikatonan’ny oniversite raha izany olana rehetra izany no tsy voavaha

 

Maintirano Mpanao gazety iray indray no voasambotra

Ankoatra ireo mpanao gazety enina tao amin’ny Radio Fahazavana dia nisambotra mpanao gazety iray indray ny zandary tany Maintirano omaly. Afakandro Alphonse na Fôfô no fahalalan’ny mponina any an-toerana ity mpanao gazety ity.

Omaly dia niteraka savorovoro tao Maintirano mihitsy ity fisamborana ity mpanao gazety ity.Raha tsiahivina dia resaka efa tamin’ny volana janoary ity mbola mitatra hatramin’izao ity. Nilaza vaovao mikasika ny fanondranana an-tsokosoko irony karazana sokatra tsy misy mpanana eran-tany afa-tsy ny eto Madagasikara irony ity namana mpanao gazety ity. Nahatsiaro tena ho voatohina tamin’ity resaka ity anefa ny zandary ao an-toerana ka nametraka fitoriana ny lehiben’ny kaompania.

Nisy fotoana efa niakatra taty an-drenivohitra ity mpanao gazety ity hanazava ny marina rehetra mikasika ity fanondranana an-tsokosoko sokatra ity. Nitondra porofo mihitsy izy tamin’izay. Niverina tany Maintirano anefa volana vitsy lasa izay dia izao nosamborin’ny zandary omaly izao. Hatramin’ny fotoana nanoratana anefa dia heno fa tsy mbola mety manao fanadihadiana azy ny Fampanoavana any an-toerana. Heno koa omaly fa nisy ny fihetsiketsehan’ny mponina tany an-toerana ho fanoherana ity fisamborana ity.  Ho hita eo ny tohiny.

 

La découverte du siècle pointe son bout du nez, après une décennie de recherches. Un représentant deRamarovahiny Jean Guillianoa annoncé hier le test du JMAR, le prochain remède contre le SIDA, sur deux centaines d’individus malagasy, atteints du syndrome. Les tests cliniques ont été effectués à l’Île Maurice et se sont avérés satisfaisants, affirme ce chercheur. Le JMAR a déjà fait l’objet d’une protection de brevet, ainsi qu’une autorisation de recherches émanant du Ministère. La commercialisation du produit acquerra près d’un milliard et demi de dollars américains à Madagascar. Seulement, le premier obstacle se pose, le Pr Zaraniaina, ayant découvert le médicament ZARA, aux mêmes vertus, vient d’engager une poursuite judiciaire contre Ramarovahiny Jean Guilliano, pour vol de brevet et exploitation personnelle de recherches professionnelles. Selon le Pr Zaraniaina, ce chercheur était secrétaire technique au sein de son établissement de recherches, pour ensuite quitter la boîte en 2006.

orange.mg/

REMEDE VIH SIDA: Jean Guiliano Ramarovahiny, phytothérapeute, découvreur des remèdes contre le VIH Sida est détenu à Antanimora pour cause de divulgation et d’exploitation de secrets industriels.

les-nouvelles.com/

REMEDE CONTRE LE SIDA

Un ex-employé de Zaranaina se retrouve en prison

A la suite d’une plainte déposée par Christian Zaranaina à la brigade spéciale de la gendarmerie, J.G.N.R de JC Phytopharmacie, a été déféré hier au parquet d’Anosy. D’après Christian Zaranaina, J.G.N.R qui serait son ancien collaborateur, a divulgué et utilisé frauduleusement la formule d’un remède contre le Sida dont il est l’inventeur et qui est protégée par un brevet d’invention.

« Il a travaillé à la fondation Zaranaina en tant que secrétaire technicien. Ce qui lui a permis d’avoir accès sur certains dossiers qui lui ont été confiés. Il les a photocopiés et, maintenant, il l’exploite abusivement, au détriment d’une société étrangère à qui j’ai cédé le brevet », a-t-il déclaré. Toujours d’après Christian Zaranaina, cette société chino-italienne qui compte produire le remède à partir de janvier 2011 trouve que les procédés de J.G.N.R sont déloyaux.

Pour se disculper, J.G.N.R a expliqué hier que Christian Zaranaina et lui n’ont jamais eu de relation professionnelle. « On était des confrères par la religion et la foi et c’est tout. Et cela, malgré le fait que, nous sommes tous les deux des chercheurs », a-t-il indiqué. Il a également fait savoir que les essais effectués jusqu’ici ont démontré les différences sur les formules utilisées.    

Publié dans FLASH INFO

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